Vous vous interrogez sur les heures de délégation au sein du CSE (Comité Social et Économique) ? Ces heures correspondent à un crédit d’heures rémunérées, accordé aux membres titulaires du CSE, aux délégués syndicaux et, dans les entreprises de plus de 500 salariés, aux représentants syndicaux. Elles leur permettent d’exercer leur mandat représentatif en dehors de leurs tâches habituelles, tout en étant considérées comme du temps de travail effectif.

Ce dispositif, encadré par le Code du travail, garantit que ces représentants disposent du temps nécessaire pour accomplir leurs missions essentielles : informer les salariés, organiser des activités sociales et culturelles, veiller à la santé et à la sécurité au travail, dialoguer avec l’employeur ou encore participer aux réunions du CSE. Ainsi, les heures de délégation jouent un rôle clé dans le bon fonctionnement de la vie sociale et économique de l’entreprise.

1️⃣ Comprendre les heures de délégation CSE

Qu'est-ce que les heures de délégation ?

Les heures de délégation correspondent au temps de travail rémunéré que l'employeur met à disposition des membres titulaires du CSE, des délégués syndicaux et des représentants syndicaux. Elles leur permettent d'exercer pleinement leur mandat représentatif. Ce temps est consacré à des missions variées, telles que les rencontres avec les salariés, la gestion des activités sociales et culturelles, ou encore la participation aux enquêtes suite à un accident du travail.

Il est important de noter que seuls les membres titulaires bénéficient automatiquement de ce crédit d'heures. Les membres suppléants, quant à eux, peuvent en profiter uniquement en cas de remplacement d’un titulaire ou de transfert d’heures.

Heures de délégation vs temps de réunion : quelle différence ?

Il est essentiel de distinguer les heures de délégation du temps passé en réunion du CSE. En effet, le temps des réunions n’est pas décompté des heures de délégation et est considéré comme du temps de travail effectif, rémunéré en conséquence.

Les heures de délégation, quant à elles, sont spécifiquement dédiées à l’exercice des missions du mandat en dehors des réunions. Cela inclut la préparation, l’analyse de documents, les échanges avec les salariés ou l’employeur, ainsi que les démarches liées à la santé et sécurité au travail. Cette distinction est essentielle pour une gestion rigoureuse du crédit d’heures et pour garantir que chaque activité bénéficie du traitement légal approprié.

L'évolution et les nouveautés pour 2025

En 2025, les règles encadrant les heures de délégation évolueront, notamment en ce qui concerne leur barème, calculé en fonction de l’effectif de l’entreprise. L’objectif est d’ajuster le crédit d’heures aux réalités des différentes tailles d’entreprises, tout en maintenant une protection renforcée des élus et représentants du personnel.

Par exemple, le nombre d’heures mensuelles attribuées augmentera progressivement avec l’effectif de l’entreprise. Cela ira de 10 heures pour les petites entreprises (11 à 49 salariés) à plus de 30 heures pour les très grandes entreprises, conformément au Code du travail et aux accords d’entreprise. En outre, en cas de circonstances exceptionnelles, telles qu’une augmentation des missions (projet de licenciement collectif, situation d’urgence en santé sécurité), les élus pourront bénéficier d’heures supplémentaires au-delà du crédit légal. Ces ajustements visent à garantir que l’usage des heures de délégation reste à la fois efficace et adapté aux besoins spécifiques des représentants du personnel dans les entreprises d’aujourd’hui.

2️⃣ Le barème complet des heures de délégation CSE en 2025

Tableau du barème par taille d'entreprise

Pour l'année 2025, le nombre d’heures de délégation accordé à chaque membre titulaire du Comité Social et Économique (CSE) dépend directement de l’effectif de l’entreprise. Voici un tableau récapitulatif du crédit mensuel légal des heures de délégation selon la taille de l’entreprise :

Effectif de l'entreprise

Nombre d'heures de délégation mensuelles par élu

11 à 49 salariés

10 heures

50 à 74 salariés

18 heures

75 à 99 salariés

19 heures

100 à 199 salariés

21 heures

200 à 499 salariés

22 heures

500 à 1499 salariés

24 heures

1500 à 3499 salariés

26 heures

3500 à 3999 salariés

27 heures

4000 à 4999 salariés

28 heures

5000 à 6749 salariés

29 heures

6750 à 7499 salariés

30 heures

7500 à 7749 salariés

31 heures

7750 à 9749 salariés

32 heures

9750 salariés et plus

34 heures

Ce barème légal peut être majoré en cas de circonstances exceptionnelles, telles qu’un projet de licenciement collectif, qui nécessite un investissement accru des représentants du personnel.

Heures selon les rôles au sein du CSE

Le crédit d'heures varie également en fonction du rôle exercé. Voici les principales situations :

  • Membres titulaires du CSE : bénéficient du crédit d'heures légal en fonction de l'effectif de l'entreprise, tel qu'indiqué dans le tableau ci-dessus.
  • Délégués syndicaux (DS) : disposent d'un crédit horaire spécifique défini par les articles L2143-13 et suivants du Code du travail, distinct de celui des élus CSE. Ce crédit varie selon l'effectif :

          - 12 heures mensuelles dans les entreprises de 50 à 150 salariés
          - 18 heures mensuelles dans les entreprises de 151 à 499 salariés
          - 24 heures mensuelles dans les entreprises de 500 salariés et plus

  • Représentants syndicaux au CSE (RS) : cumulent leurs heures d'élu CSE avec leurs missions syndicales, sans crédit d'heures supplémentaire légal (sauf disposition conventionnelle).
  • Représentants de section syndicale (RSS) : ne disposent pas d'un crédit d'heures légal propre. Ils utilisent les heures de délégation de leur mandat d'élu CSE s'ils en ont un. Une convention ou un accord collectif d'entreprise peut toutefois prévoir l'attribution d'heures spécifiques (généralement au moins 4 heures mensuelles dans les entreprises de plus de 50 salariés sans délégué syndical).

En cas de cumul de mandats : les crédits d'heures de délégation se cumulent. Toutefois, pour les salariés à temps partiel, le temps consacré aux mandats ne peut excéder le tiers de leur durée de travail mensuelle.

Heures supplémentaires pour les mandats multiples (CSSCT, RS)

Les élus du CSE ayant la possibilité de cumuler plusieurs mandats, des dispositions permettent de leur octroyer des heures supplémentaires. Par exemple :

  • Membres de la Commission Santé, Sécurité et Conditions de Travail (CSSCT) : bénéficient d’un crédit d’heures additionnel spécifique, leur permettant d’assurer leurs missions relatives à la santé et à la sécurité au travail, en complément des heures allouées pour le mandat CSE classique.
  • Représentants syndicaux (RS) cumulant un mandat CSE : perçoivent le crédit d’heures correspondant à chaque mandat. Ainsi, un délégué syndical exerçant également comme membre titulaire du CSE cumulera les heures de délégation associées à ces deux fonctions distinctes.

Ces heures supplémentaires sont indispensables pour permettre un exercice complet des fonctions, sans empiéter sur le temps de travail normal ni sur les heures de délégation spécifiques à d’autres mandats.

3️⃣ Le calcul des heures de délégation en pratique

Exemples de calcul selon l'effectif

Le calcul des heures de délégation repose sur un nombre mensuel fixe défini par le Code du travail, proportionnel à l’effectif de l’entreprise. Par exemple, dans une entreprise de 150 salariés, chaque membre titulaire du CSE bénéficie de 21 heures de délégation par mois, à répartir selon les besoins du mandat.

Ces heures sont attribuées automatiquement, sans demande préalable, et sont rémunérées comme du temps de travail effectif. Si l’entreprise atteint 500 salariés, le crédit passe à 24 heures mensuelles par élu.

Ces exemples montrent la progressivité du système, qui vise à adapter le volume horaire aux responsabilités et au contexte de chaque entreprise.

Calcul en cas d'absence ou de temps partiel

En cas d’absence d’un membre titulaire du CSE (congé, maladie, etc.), le crédit d’heures de délégation est maintenu, permettant à l’élu d’exercer son mandat même durant ses périodes d’absence. Cependant, si le salarié est en arrêt maladie de longue durée ou en cessation de contrat, il ne bénéficie plus de ce crédit à compter de la date de fin de contrat.

Pour les salariés en temps partiel, le crédit d’heures de délégation reste identique à celui des salariés à temps plein : il n’est pas proratisé, afin de garantir l’égalité d’accès à la représentation du personnel, quelle que soit l’amplitude du temps de travail.

Notification et bon de délégation : la procédure

L’utilisation effective des heures de délégation doit être encadrée pour assurer la transparence et le bon fonctionnement du dialogue social. Concrètement, il est recommandé, voire obligatoire selon la pratique de l’entreprise, d’informer l’employeur de l’utilisation de ces heures, par exemple via un « bon de délégation » ou un système de notification. Ce document, remis à l’employeur ou au service du personnel, précise la date, la durée et l’objet de l’utilisation des heures de délégation.

Cette procédure permet à l’employeur de constater régulièrement l’exercice du mandat et de s’assurer du bon usage du crédit horaire. En l’absence de formalisme légal strict, l’entreprise peut déterminer ses propres règles de notification, à condition qu’elles ne restreignent pas abusivement l’exercice du mandat des élus.

4️⃣ La mutualisation des heures de délégation

Principes et cadre légal de la mutualisation

La mutualisation des heures de délégation permet aux membres titulaires du CSE de redistribuer leur crédit d’heures entre eux, mais aussi avec les membres suppléants. Cette flexibilité offre une meilleure adaptation dans l’utilisation du temps dédié à l’exercice du mandat. Le tout est strictement encadré par le Code du travail, notamment l'article L.2315-9. Ce dernier autorise cette pratique sous réserve du respect de certaines règles formelles, telles que l’information écrite préalable à l’employeur et un délai de prévenance d’environ 8 jours.

Ce mécanisme a pour but d’optimiser les heures disponibles, sans pour autant augmenter le volume total d’heures alloué à l’ensemble des représentants.

Avantages et conditions d'application

La mutualisation offre plusieurs avantages significatifs. Elle garantit une meilleure couverture des missions du CSE, notamment lorsque certains élus ne peuvent pas utiliser la totalité de leurs heures. De plus, elle permet de renforcer la présence et l’efficacité des suppléants en leur transférant des heures non utilisées. Cela contribue à une gestion plus dynamique et efficace des ressources.

Néanmoins, certaines limites doivent être respectées. Par exemple, le bénéficiaire ne peut pas disposer, dans un même mois, de plus de 1,5 fois le crédit d’heures mensuel normal. Cette règle vise à éviter une surcharge de travail excessive. En outre, la mutualisation doit préserver un équilibre entre les collèges électoraux et se conformer aux accords collectifs ou au règlement intérieur de l’entreprise, qui peuvent imposer des règles supplémentaires.

Exemple chiffré de mutualisation entre élus

Imaginons une entreprise comptant 100 salariés, où chaque membre titulaire bénéficie de 21 heures de délégation mensuelles. Si un élu n’utilise que 10 heures, il peut transférer les 11 heures restantes à un autre membre titulaire ou à un suppléant. Ainsi, le bénéficiaire pourrait disposer d’un maximum de 31,5 heures (21 heures + 1,5 fois 21 heures = 31,5 heures) s’il n’a pas d’heures propres.

Ce mécanisme facilite la mobilisation des ressources lorsque certains élus doivent gérer un volume de tâches plus important, par exemple dans le cadre de projets complexes ou lors d’urgences liées à la santé et à la sécurité au travail. Toutefois, il est essentiel que ce transfert soit formalisé par écrit et communiqué à l’employeur, afin de garantir une transparence et une traçabilité optimales.

5️⃣ Optimiser l'utilisation des heures de délégation

Stratégies pour une utilisation efficace

Pour optimiser l’utilisation des heures de délégation, il est essentiel de mettre en place des stratégies claires et efficaces. Tout d’abord, une planification proactive s’impose : cela signifie anticiper les besoins futurs du CSE et répartir les heures en fonction des missions prioritaires.

La formation continue des membres du CSE sur la gestion du temps et la communication efficace est également importante. En effet, des compétences en matière de médiation, de négociation et de résolution de conflits permettent d’intervenir rapidement et de manière constructive dans les situations critiques. De plus, un suivi régulier des activités réalisées grâce aux heures de délégation permet d’évaluer leur impact et d’ajuster les stratégies en conséquence.

Report d'heures : règles et limites légales

Le Code du travail autorise le report d'heures de délégation d'un mois sur l'autre, mais il ne précise pas de limite spécifique. Cependant, il est généralement admis que le report ne doit pas créer de perturbation dans l'organisation du travail de l'entreprise. En cas de circonstances exceptionnelles, comme une période de forte activité pour le CSE, il est possible de reporter des heures, mais cela doit être formalisé par écrit et transmis à l'employeur.

Le report doit rester compatible avec l'organisation du service et ne pas causer de préjudice à l'entreprise.

Outils et modèles de suivi (téléchargeables)

Pour gérer efficacement les heures de délégation, utiliser des outils de suivi et des modèles de gestion permet de maintenir la transparence et la précision. Des tableaux de bord, des feuilles de temps ou des outils numériques dédiés (applications de suivi du temps) peuvent être téléchargés et adaptés aux besoins spécifiques de l'entreprise. Ces outils facilitent la gestion des heures par élus, permettent de suivre l'utilisation mensuelle, et peuvent être utilisés pour justifier les heures utilisées auprès de la direction ou lors d'éventuels audits internes.

Ces modèles peuvent être personnalisés pour inclure des rubriques de report, de prévision et de confirmation avec l'employeur, garantissant ainsi une traçabilité complète et fiable.

6️⃣ Gestion et contrôle des heures de délégation

Les obligations de l'employeur

L'employeur a plusieurs obligations concernant la gestion des heures de délégation. Tout d'abord, il ne peut pas s'opposer à leur utilisation, sauf en cas d'abus manifeste ou de perturbation grave de l'activité de l'entreprise.

En effet, la loi impose que l'employeur soit informé suffisamment à l'avance afin de minimiser l'impact sur le fonctionnement de l'entreprise. De plus, il peut demander un relevé récapitulatif des heures utilisées, mais uniquement pour vérifier leur conformité, et non pour influencer l'exercice du mandat. Enfin, l'employeur doit veiller à verser la rémunération correspondante, considérée comme du temps de travail effectif, et prendre en compte ces heures dans la fixation des objectifs professionnels.

Droits et devoirs des représentants du personnel

Les représentants du personnel, tels que les membres du CSE, disposent de droits essentiels mais également de devoirs bien définis. Ils ont le droit d'utiliser librement leurs heures de délégation, sans autorisation préalable, pour exercer leur mandat, tout en bénéficiant d'une protection légale contre toute entrave à leur mission.

Cependant, ils doivent justifier l'utilisation de ces heures si l'employeur le demande. Ils sont également tenus de respecter les règles de notification et de mutualisation lorsqu'elles s'appliquent. Une gestion efficace de ces heures est indispensable pour remplir leurs missions de représentation du personnel de manière optimale.

Que faire en cas de litige ou de refus ?

En cas de litige ou de refus de l'employeur concernant l'utilisation des heures de délégation, les représentants du personnel disposent de plusieurs recours. Tout d'abord, il est recommandé d'ouvrir une discussion interne avec l'employeur pour tenter de résoudre le conflit à l'amiable.

Si cette démarche échoue, il est possible de contester la situation devant un tribunal judiciaire. En cas de refus abusif, le représentant du personnel peut également saisir l'inspection du travail afin d'obtenir une médiation ou une intervention protectrice.

Par ailleurs, les représentants syndicaux ont la possibilité de mobiliser leurs fédérations ou organisations syndicales pour bénéficier d'un soutien dans la gestion du conflit.

✅ Conclusion

Les heures de délégation CSE en 2025 constituent un outil essentiel pour permettre aux élus de disposer du temps nécessaire afin de représenter efficacement les salariés. Comprendre le barème, maîtriser le calcul et connaître les options de mutualisation sont des clés pour optimiser leur utilisation tout en restant conforme au cadre légal.

Une gestion rigoureuse de ces heures, accompagnée d’une communication claire avec l’employeur, est indispensable pour éviter tout litige. Pensez à mettre en place des outils adaptés et des procédures spécifiques, ainsi qu’à former les représentants du personnel, afin de maximiser l’impact de ces heures pour le bien de votre entreprise et de ses salariés.

FAQ

➡️ En tant que membre suppléant du CSE, puis-je bénéficier d’heures de délégation de la même manière qu’un titulaire ?

En tant que suppléant au CSE, vous ne bénéficiez pas, par défaut, d’heures de délégation propres, contrairement aux titulaires. Vous pouvez uniquement en utiliser lorsque vous remplacez un titulaire absent, et ce, dans la limite des heures qui lui sont disponibles.

Un accord d’entreprise peut toutefois prévoir un crédit partagé entre membres, mais cela reste une pratique exceptionnelle.

➡️ Comment calculer précisément le nombre d’heures de délégation auquel j’ai droit, selon l’effectif de mon entreprise ?

Pour connaître le nombre d’heures de délégation, référez-vous au tableau du Code du Travail, qui varie selon l’effectif de votre entreprise. Par exemple :

  • De 11 à 49 salariés : chaque titulaire CSE a droit à 10 heures par mois.
  • De 50 à 74 salariés : ce nombre passe à 18 heures.
  • De 100 à 199 salariés : il augmente encore à 21 heures.

Notez que les accords d’entreprise ou de branche peuvent prévoir des dispositions plus avantageuses pour les élus.

➡️ Est-il possible de transférer ou mutualiser ses heures de délégation entre titulaires et suppléants du CSE, et dans quelles conditions ?

Oui, les titulaires du CSE peuvent transférer leurs heures à d’autres titulaires ou suppléants, à condition de respecter certaines règles :

  • Informer l’employeur par écrit au moins huit jours à l’avance.
  • Veiller à ce que le cumul des heures ne dépasse pas 1,5 fois le crédit mensuel autorisé.

➡️ Que faire si un élu dépasse son quota d’heures de délégation ou s’il estime que le crédit horaire alloué n’est pas suffisant pour exercer ses missions ?

En cas de dépassement du quota, l’élu doit justifier des circonstances exceptionnelles pour pouvoir demander la rémunération des heures supplémentaires effectuées. Si le crédit d’heures est jugé insuffisant, il est possible de :

  • Négocier une augmentation via un accord d’entreprise.
  • Discuter directement avec l’employeur pour adapter le quota en fonction des besoins.

 Téléchargez gratuitement notre infographie dédiée aux heures de délégation des élus CSE

Découvrez comment utiliser vos heures de délégation avec une infographie récapitulative de leur volume, leur attribution et leurs bénéficiaires au CSE. Cliquez-ici pour y accéder.

Mis en ligne le 10/10/2025

Catégorie :
Heures de Délégation CSE 2025 : Barème Complet, Calcul et Mutualisation

Convaincus par l'expertise de nos contenus ?

Découvrez notre expertise en solutions et logiciels de gestion CSE pour les élus.

Découvrez gratuitement nos solutions CSE

Billetterie HelloCSE sur ordinateur de bureau

Rien ne vaut d'échanger de vive voix avec l'un de nos experts pour cerner vos besoins... et y répondre !

Contactez-nous : on s'occupe du reste

Sans engagement & avec le sourire :)

Contactez notre équipe

Nous vous recontactons à votre convenance